bonjour, mon thème d'aujourd'hui : A la rencontre de maîtres de sagesse.  Réflexion personnel. Je ne crois pas qu'on cherche un Maître de sagesse, on le trouve. Si on éprouve du désarroi face aux vicissitudes du monde et de la vie, alors la prudence est de rigueur. Parce qu'on est alors une proie facile pour les nouveaux marchants du temple : les embrigadeurs nouveaux, sont là et depuis longtemps ce sont les marchants de sectes. Eux ont presque toujours, pignon sur rue.  Les vrais Maitres, non! qui, à part leurs adeptes bien sûr, connaissaient Aïvanhov Durckheim et lanza del vasto, en france vers le début des années 60 QUI ?

 Interrogez les gens autour de vous ! Si vous trouvez dix personnes ayant connu leurs noms ce sera beaucoup!  Non, les gens connaissent le non de leur  chanteur préféré, le meilleur joueur de foot, l'actrice ou l'acteur qui monte. Les intellectuels connaissent d'autres intellectuels. Le monde c'est englué dans plusieurs guerres, et cela continu, il aurait peut- être  été souhaitable de consulter des sages, de par le monde. Mais pour parapher Prévert: le monde n'est pas sage. Le monde préfère s'amuser. Les enfants aussi. C'est peut-être ça, le drame de ce monde? C'est surement ça le drame de ce monde! Alors que les hommes devraient chercher la vérité, pour comprendre ce qui les poussent à s'entretuer, à se battre pour des lopins de terre, alors que la planète  regorge de richesses suffisantes pour tous. Mais non, les hommes préférent leur BMW, leur Mercedes, la nouvelle coupe à la mode, ils ne cherchent pas à rencontrer les Maitres de sagesse. Aujourd'hui pas plus qu'hier? Les Maîtres de sagesse , comme des personnes qu'ils forment ceux qui deviennent des personnes épanouies, sont les marginaux de tous les temps, mais aussi les phares de l'espoir. Et les sagesses sont, aujourd'hui comme de tous temps, les havres où se ressourcent ceux qui choisissent de vivre à coté des tumultes, des bourrasques qui emportent dans leur agitation, la vie de ceux et celles qui ne vivent qu'en surface, de ceux qui ont, d'une certaine façon, peur de la rencontre avec leur Etre profond et davantage encore avec l'Etre du monde, emmurés qu'ils sont dans les préjugés d'une société humaine qui entretient ces autoroutes de la pensée,  Vous savez ! celles du choix de ne rien remettre en cause !      Jl