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07/06/2007 22:57
bonjour, je vois que plusieurs personnes ont répondue aux textes sur l'éducation, je vous parlerez de l'adolescence, âge ingrat, âge clair, diront certains, pour ceux qui sont parents et qui ont des enfants ados, il est parfois difficile de comprendre cette période d'évolution chez le jeune. Il est souvent agréable de se souvenir de son enfance, mais dire qu'on se souvient avec joie de l'"âge ingrat" ne prouve parfois qu'un manque de mémoire! C'est que l'adolescence est une période troublée, anarchique, pénible, redoutée par beaucoup de parents; c'est une période de vie qui succède à l'enfance et s'étend jusqu'a l'âge adulte. Chez les garçons, elle s'étend de 14 ans jusqu'à la vingtaine; chez les filles, de 12 à 18 ans. Ces limites varient évidemment d'après le climat, la race, le milieu social ( qui peut imposer certaines adaptations précoces ou retardées. C'est la puberté qui est la porte de l'adolscence...( mais ça vous le savez ). Une renaissance en quelque sorte. L'enfance s'éloigne, les jeux sont abandonnés, l'équilibre est rompu, le caractère devient d'une instabilité remarquable. Finie, l'existence douilette sous la protection des parents! Chez beaucoup de peuples, la puberté est à la fois une mort et une renaissance. Je termine ce sujet je le continuerai demain. Mais je voudrais dire encore ceux-ci chez l'ados c'est la révélation de son "moi " ne peut évidemment que le boulverser; il se tâte mentalement, se cherche, s'examine, se retire dans la solitude. iI tente avant tout de comprendre, ce qui lui arrive. Pour les parents il faudra être vigilant cette période de transformation psychologique, physique, est à prendre avec sérieux, gestions des conflits, l'observation, le dialogue, l'écoute, est du plus grand intérêt pour aider les ados à passer cette étape de leurs vies? A demain pour la suite JL
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07/06/2007 02:36
toute éducation qui est source de conflits intérieurs ou de diminution de la peronnalité montre un manquement d'amour et de compréhention. Elle n'est en fait, qu'un égoïsme déguisé.
L'éducation est le développement de l'intelligence intégrée dans une vision générale du monde. Elle ne consiste pas à permettre de brillants examens, mais à développer la lucidité. L'éducation doit être une collaboration dans l'humilité.
On ne transmet pas une vérité: chacun doit la trouver lui-mème. L'éducateur doit être un cristal lumineux... S'il se croit supérieur, il se fixe dans un rôle; et il essaye de sauvegarder ce rôle. Son autorité devient désir inconscient d'avoir raison. Concernant l'éducation des enfants, en forçant l'enfant à accepter l'autorité, on brime son intelligence et sa spontanéité. On l'oblige à rétrécir sa propre lucidité et son étendue mentale. On l'empèche de percevoir des valeurs humaines correspondant à ce qu'il est lui même.
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07/06/2007 00:54
bonjour, la culpabilité sera donc le thème de ce soir vu qu'il a été demandé. Certain écrits donne un sens qui ne va pas toujours plaire, en faite la culpabilé est l'état de celui qui à commis une faute, c'est le caractère d'une action coupable. Mais c'est aussi le sentiment d'une personne qui se juge coupable, sans avoir fais forcément une erreure. Je ne mérite pas ce qui m'arrive. Cette petite phrase, qui vient souvent perturber ceux qui ont une mauvaise image d'eux-mêmes, obséde aussi ceux qui ont l'impression d'avoir quelque chose à se reprocher, quand un événement heureux vient éclairer leur horizon. Hélas, elle vient aussi brouiller les pistes quand il faut passer à l'action. Pourquoi ces personnes se dénient-elles le droit au succès ? Certaines, issues de milieu modeste, se sentent coupables de réussir mieux que leurs parents par exemple? D'autres ayant obtenu une bourse étant jeunes, n'ont jamais pu accepter que leurs frères et soeurs n'aient pas eu cette chance. D'autres encore ont des pensées qui leur font honte. Par exemple, elles ont dit du mal de quelqu'un qui pourtant s'est démené pour les aider( ça peut arriver ) et surtout pour les aider à reussir. Ou alors, elles ont menti ou trompé quelqu'un pour tenter de satisfaire leurs ambitions. Mais aux fond d'elles-mêmes, ces personnes sont génées par un sursaut de bonne conscience, ou entravées par le poids de leur sentiment de culpabilité. Elles évitent alors de se lancer dans l'action, ouvertement ou par des moyens plus insidieux tels que la procrastination, comme pour mieux se bloquer la voie conduisant à la réussite. Elles se sentent finalement plus en sécurité du cotés des perdants. Ne soyons plus des perdants, battons nous pour devenir des vainqueurs et considérons toujours les autres, pour éviter de juger, de médire, de critiquer, nos relations avec les autres se porterons mieux et nous aurons plus à rougir quand nous voyons des gens que l'on estiment, mais pourtant des gens que nous avons dit du mal. Allons dire à ces personnes excusez moi, pour retrouver la paix intérieure. JL
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