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20/06/2007 23:42
bonjour, suite à des problèmes informatique j'ai stopé la mise en page de mon thème sur la promiscuité. Je vous demande d'être indulgent. je le reprend donc ce soir.
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20/06/2007 01:10
bonjour, je viens de rentrer du travail, un orage c'est abattu sur mulhouse mais ça rafraichi. je continu le thème sur la prosmiscuité. Pour déraciner cette peur, pencher-vous sur vous-mème. Demandez-vous comment réagirait un être cher s'il découvrait ce trait de caractère gênant. Est-il si déplaisant que cela? N'y a t-il aucun moyen d'y remédier? et de toute façon ne vous aimerait-il pas quand même? L'amour a le pouvoir d'adoucir les angles. Mais si vous restez calfeutré, dans votre solitude, vous ne vous donnerez pas la chance de vérifier. jl
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19/06/2007 01:26
bonjour, le thème de ce soir sera donc la prosmiscuité. Vous ne serez peut-être pas d'ccord mais ce thème mérite d'être donné. Avez-vous l'impression que, lorsqu'on vous donne un avis, on empiète sur votre liberté , Craignez-vous de voir quelqu'un prendre trop de place dans votre vie ? Acceptez-vous que votre famille vous dicte vos actes? Vous impose ses exigences? Tolérez-vous l'ingérence? Arrivez-vous à vous sentir complètement en confiance? Attendez-vous quelque chose des autres qui vous soit vital? Souhaiter-vous ne dépendre que de vous même? Garder vos distances? Si toutes ces hypothèses correspondent à votre état d'esprit, vous devez être très vigilant quant au respect de votre territoire. Peut-être vous est-il déjà arrivé de changer de travail, de déménager ou d'interrompre une relation intime avec quelqu'un sous prétexte que vous vous sentiez confronté à une trop grande exigence? Si elle est un moyen pour préserver des liens avec les autres, la procrastination peut aussi être un excellent moyen pour garder ses distances et donc se protéger. Par exemple, en retardant le moment d'écrire ou de téléphoner à vos amis, vous vous tenez hors de leur portée. En restant prudemment sur vos gardes au début d'une relation amoureuse, vous l'empêchez de devenir sérieuse et intime, vous ne vous engager pas. Sans doute par peur de vous attacher et peur, un jour d'être rejeté. Peut-être avez vous souffert d'une relation chaotique entre vos parents? Rappelez-vous, dans votre enfance, quand vous pleuriez, vos parents vous grondaient-ils en vous disant qu'il n'y a que les bébés qui pleurent? Ne vous faisaient-ils pas comprendre que montrer ses émotions était un signe de faiblesse? Ou alors, peut-être évitez-vous toute intimité par crainte qu'elle ne dévoile un trait de votre caractère que vous ignorez ou souhaitez dissimuler? voila pour ce soir la suite demain JL
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18/06/2007 12:49
bonjour, ce que je pense peut-être que je me trompe. Nanti par le loi d'une technique du bien-vivre, l'homme ignore qu'il peut vivre plus et mieux. Protégé par elles de tout dévergondage, il est aussi détourné du meilleur de lui-même. Sans risque, il est aussi sans avenir.
Le vouloir est un mur et non une marche, c'est un avertissement devant mon attitude à crisper ma volonté lorsque je veux atteindre un but.
Je pense que les être humain les plus heureux ne possèdent pas forcément grand-chose, ils sont.
Cequi est sérieux, c'est de ne pas se prendre au sérieux.
Je ne suis né ni chrétien, ni musulman, ni communiste, ni athée, ni croyant, ni bien d'autres choses, je suis né homme. J'ai étudier beaucoup les religions pourtant je ne suis pas croyant, mais je crois que le christ est d'essence divine. Je veux dire que son humanité est si grande, si rigoureuse, si parfaite qu'elle transcende les limites ordinaires de l'humain.
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17/06/2007 23:27
bonjour aprés c'est quelques heures de repos bien mérité je reviens avec mes thèmes favoris. Je continue mon thème sur la solitude. La peur de l'isolement entraîne parfois des formes de procrastination plus directes. Par exemple, ne pas rendre un travail en temps et en heure, pour retarder le moment où il faudra se retrouver seul, livré à soi-même. Faire des études à rallonge pour rester dans le cocon de l'université, loin de la jungle de la vie active. Au contraire, arrêter ses études pour ne pas susciter les jalousies ou risquer de se démarquer. Ne pas se prendre en charge en espérant que les autres le feront. Trouver la victime idéale pour se décharger du travail en le lui faisant faire. S'attirer les pires ennuis pour que l'on s'intéresse à soi. Rester dans son premier emploi pour ne pas froisser son patron qui a été forminable. Bref, tous les actes par lesquels, pour se sentir en sécurité, on cherche à sauvegarder les liens avec les autres, par tous les moyens. Cette peur d'être confronté à soi-même et cette dépendance vis-à-vis des autres sont souvent caractéristiques des personnes qui, enfants, ont subi un traumatisme les ayant fortement éprouvées, comme par exemple d'avoir été perdues dans une foule, ou bien ces personnes ont-elles été couvées par leurs parents, surprotégées, aidées dans tous les domaines, gardés loin des réalités, rabrouées quand elles exprimaient une ambition, constamment mises en garde contre les autres, préservées de tous soucis et donc privées de toute fibre combative. Même adules, elles n'ont pas vraiment pu acquérir leur autonomie. Cependant, la même éducation, quelque peu étouffante, peut aussi être à l'origine d'une peur inverse, celle de la promiscuité, ou engendrer l'esprit de contradiction. voila pour ce soir je vous parlerez de la peur de le promiscuité demain. Jl
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