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16/06/2007 11:52
bonjour à tous, avant de partir me reposer jusqu' à dimanche soir je vous fais un thème sur la peur de la solitude. Vous sentez-vous plus efficace et plus à l'aise quand vous travaillez en équipe plutôt que seul?? Avez vous besoin de la présence des autres, de leur regard et de leur approbation, pour croire en vous même? vous sentez-vous perdu chaque fois que vous êtes seul? Dites-vous volontiers votre"moitié" en parlant de celui ou celle que vous aimez? Ne vous manque t-il donc pas quelque chose d'essentiel à vous même lorsqu'il ou elle n'est pas à vos côtés? Craignez-vous de prendre des décisions ouque l'on vous demande votre avis ? Quand vous avez un choix à faire, êtes vous sur de connaître vos préférences?
Votre besoin des autres alors est tel qu'il devient source d'angoisse. Et si les autres venaient à ne plus apprécier ou à ne plus vous aimer? Vous redoubler donc d'efforts pour que cela n'arrive pas. Vous vous donnez entièrement, entièrement, au point de vous oublier vous-même. Pensez par exemple à une personne qui consacre tout son temps à son entourage, donnant ainsi un sens à sa vie. Du coup, elle procrastine sur ses propres besoins , sans même parler de ses désirs, qu'elle n'en a pas d'autres que de satisfaire ses proches. Emportée dans son tourbillon de "générosité ", cette personne-là arrivera t-elle un jour à discerner ses propres désirs? A découvrir sa véritable identité ? Je reviendrais un bref instant sur ce thème demain soir. JL
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16/06/2007 00:11
bonjour, une réflexion troublante. l'avantage incontestable de la mort, reconnaissent les penseurs de tous bords, c'est qu'elle peut constituer, pour les âmes élevées, une "références", un " miroir" de ce qu'aura été notre existence. Dans nos société occidentales, où l'on évacue de plus en plus la mort, il existe une pratique rituelle, dont il me semble qu'on puisse l'évoquer, préalablement, avec un intérêt certain : la pratique de l'oraison funèbre, vous savez, ces propos, plus ou moins sincères, où l'on évoquent les traits dominants du défunts. Il m'étonnerait beaucoup que cette pratique disparaisse prochainement. Elle me paraît fort utile comme moyen de prise de conscience actuelle, et je vous invite à vous poser cette question, que je reconnais fort difficile. Que sera votre oraison funèbre. Sur quoi portera l'essentiel du message que prononceront vos survivants. Quels traits de votre personnalité seront soulignés ?. Quelles actions seront mises en évidence?. Et surtout, l'intérêt de cet exercice délicat réside dans la question que voici: " Est-ce qu'aujourd'hui, en âme et conscience, ce que je pense de ce que sera mon oraison funèbre est à mes propres yeux satisfaisants, ou est-il quelque chose de ma vie, de ma manière d'être, des objectifs que je poursuis encore aujourd'hui, que je souhaiterais modifier. JL
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15/06/2007 10:43
bonjour, Pensée du jour, je suis là comme un guide de même que le guide de montagne aide ceux qui sont intéressés à parcourir la montagne . Il ne porte pas ceux qui le suivent sur son dos. Chacun doit faire le chemin lui-même
Seuls les facteurs ou les télégraphistes ont des messages à transmettre.
Peut-être que vous ne serez pas d'accord, mais je voulais transmettre ce message. La société occidentale de ce début de 21ème siècle est " le modèle " universel vers lequel tendent toutes les sociétés de la planéte. Or, ce modèle est "malade". Malade des conséquenses de la primauté donnée à l'économique par rapport à l'humain, à l'esprit et à la vie.
La capacité de faire des choix entre ce qui est préférable pour lui-même, et surtout, dans un certain cas, ce qui est préférable pour l'autre( ou pour les autres).
Il y a amour d'un être humain à l'égard d'un autre lorsque le premier fait DON de son attention, de sa bienveillance, de sa tendresse, de sa compréhention, de sa générosité affective, de son temps, sans calcul, dans un sens qui es favorable au bien-être, à l'épanouissement de l'autre. Mon prochain est l'autre.
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