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02/09/2007 11:31
bonjour à tous j'ai consommé quelque jours de repos, je vous souhaite une bonne rentrée je reprendrai mes thèmes. Mais pour aujourd'hui je reprendrai une phrase de John KENNEDY. Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez plutôt ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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22/08/2007 14:08
Bonjour, le thème d'aujourd'hui. Ne pas remettre à demain ce que vous pouvez faire aujourd'hui. Les raisons d'en finir avec cette mauvaise habitude de tout remettre au lendemain foisonnent. Mais toutes convergent vers la raison essentielle, vitale : la paix avec soi-même et donc avec les autres. Ce type de réflexion fataliste, tout comme ses équivalences telles que C'est le destin ! On n'arrête pas le courant, Ce qui doit être sera, je n'y peux rien, ou une exprexion utilisé par beaucoup Dieu pourvoira, ou il n'y a qu'a laisser faire les choses, sont terriblement restrictives car elles limitent notre champ d'action à néant. Nous baissons les bras et confions notres destinée à une force aussi aléatoire et incertaine que le hasard. Bien sur, il y a des domaines sur lesquels, effectivement, nous ne pouvons influer, même si nous y mettons toute notre bonne volonté. Mais avant de capituler, il est toujours indispensable de se poser la question de ce qui est inévitable et de ce qui ne l'est pas. Les Alcooliques Anonymes se sont tracé une ligne de vie qu'ils essayent de suivre fidèlement, et qui est exprimée, par les mots de cette pensée sur la sérité. Mon Dieu, donnez-moi la sérinité d'accepter les choses que je ne peux changer, le courage de changer celles que je peux et la sagesse d'en connaître la différence. Jl
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17/08/2007 04:25
je vous envoie cette image signe de paix et de fraternité, bonne lecture  
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17/08/2007 04:22
citation de Omraam Mikhaël Aïvanhov le philosophe d'origine bulgare.
Et c'est aussi cette dignité, ce respect envers soi-même qu'il voulait enseigner à ses disciples, des tabernacles de l'Eternel où ne doivent entrer et sortir que de la nourriture, des pensées, des paroles, des sentiments purs. Tous ceux qui ne surveillent pas ce qui entre et sort en eux, qui se laissent aller à faire n'importe quoi, à s'occuper de n'importe quoi, ne peuvent pas avoir conscience de leur véritable dignité d'homme
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