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01/11/2007 19:23
bonjour, Beaucoup de femmes disent je veux m'en sortir pour mes enfants. Pour certaine femme les enfants sont une force pour d'autres ils deviennent un fardeau mais en règle générale dans l'adversité, ils sont souvent la dernière raison qui empêche les femmes seules de baisser les bras. Elever ses enfants seule pour ces femmes est un statut en soi. Un enfant doit manger trois fois par jour, porter des vêtements propres, dormir dans un lit et grandir dans un environnement équilibré. Ces évidences sont un défi lorsque la vie des femmes basculent dans la pauvreté, mais cela touche aussi des couples quand la famille est touché par la pauvreté pour des raisons diverses. En France pays des libertées, la misère existe, dans certaine situation l'enfant devient alors une charge bien lourde à porter. Lorsque les couples se séparent ce fardeau s'alourdit un déchirement dont on veut protéger les enfants, parfois à ses dépens. Bien souvent les enfants deviennent l'enjeu d'un chantage affectif entre les parents, cet enjeu est plus dur lorsqu'il y a de la violence, Chez les femmes qui subissent la violence du conjoint, les enfants en souffrent en silence parce qu'ils aiment leurs parents et ne comprennent pas le conflit qui les atteind malgré eux. Un père violent c'est une mère démunie. En France,être mère ouvre accès à un véritable statut social reconnu par les institutions. Aides sociales, allocation de parent isolé, accès prioritaire en HLM ... Les mères célibataires bénéficient de prestations spécifiques. Un coup de pouce bienvenu mais qui ne remplacera pourtant jamais la chaleur douce et sereine d'un foyer équilibré. Alors oui il faut lever ce tabou, notre société commence à prendre conscience du problème. Savez-vous qu'en France tous les trois jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint. Beaucoup de chose reste à dire, mais je dirais beaucoup plus reste à faire dénoncer des faits c'est bien, il faut informer, prévenir, mais surtout agir en connaissance de cause aider toutes personnes souffrant de violence doit être un combat de chaqu'un d'entre nous. tout prêt de soi il y a un enfant qui souffre, une femme battue, un couple en difficulté. Restons vigilant ne pas fuir face aux problèmes des autres la solidarité n'est pas que donner de l'argent, mais passe aussi par des gestes, des mots, des sourires, des mains tendues vers ceux qui sont dans le besoin. A bientôt JL
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01/11/2007 02:30
bonjour, violences des femmes suite. Avant de recommencer une nouvelle vie, les victimes de violences conjugales ont besoin de temps, d'écoute et de soutien psychologique. Parler pour évacuer les mauvais souvenirs. Après le lourd traumatisme de la violence conjugale, les femmes ont besoin d'un temps pour souffler. Ce temps dure entre un et deux ans. C'est une période de transition où elles font le point sur elles-mêmes. La parole devient alors un élément indispensable pour réparer les blessures de la vie. Elles ont besoin de raconter leur souffrance pour l'évacuer et pour pouvoir prendre du recul avec leur passé parfois cela ne suffit pas. Bien souvent, les femmes ont ont une faible estime d'elles-mèmes au départ, puis le mari achève de les persuader qu'elles sont bonnes à rien. Pour supporter les coups et les humiliations, elles se réfugient dans un raisonnement complètement faussé. Du coup, elles se croient responsable de la dégradation de leur situation, voila pour ce soir à bientôt JL
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30/10/2007 22:26
Ce bouquet pour toutes celles qui liront l'article sur la violences des femmes.
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30/10/2007 22:18
Bonjour, à tous mon thème d'aujourd'hui sera les femmes en difficultées. Une détresse souvent silencieuse. Les indicateurs sont formels, il y a une hausse de la précarité chez les femmes. Aux prises avec la pauvreté, elles sont aussi plus nombreuses à être seules pour élever leurs enfants. En France, il y aurait 1,3 million de mères isolées! Ces dix dernières années, ce nombre a progressé d'un quart. La moitié d'entre elles survivent grâce à des aides sociales. Plus d'un quart se situent au-dessous du seuil de pauvreté. Incapable de payer un loyer, elles survivent grâce à des aides sociales. elles sont expulsées de chez elles et se réfugient dans les centres d'hébergement avec leurs enfants, lorsque la famille n'est pas là pour les aider. Souvent, les femmes ayant un emploi ne gagent pas suffisamment pour se loger. Elles travaillent en intérim ou à temps partiel pour un salaire inférieur au SMIC. Dans le meilleur des cas, elles vivent dans un hotel social sans possibilité de faire la cuisine. Des conditions de vie inadaptées, lorsqu'on a un enfant en bas âge. Je pourrais parler aussi des femmes victimes de violences. Elles ont besoin de temps, d'écoute et de soutien psychologique pour se reconstruire. A la la base de la violence conjugale, il y a toujours l'emprise d'un conjoint. Le mari va les couper du monde. Elles perdent leurs amis, elles ne voient plus leur famille. Il leur est interdit de travailler. Le mari leur retire leur chéquier, leur coupe le téléphone...Les pouvoirs publics ont récemment mis en place des mesure pour aider les femmes à s'en sortir. Par exemple, si elles quittent leur emploi pour raison de violences conjugales, elles percevront leurs indemnités ASSEDIC. De même la loi impose maintenant au conjoint violent de quitter le domicile. Il est vrai que, dans la réalité c'est encore l'inverse qui se produit... mais c'est toutefois un progres, depuis mars 2007 un service d'écoute des violences conjugales, le 39 19, a été ouvert. Ce service croule littéralement sous les appels, à raison de 1000 appels par jour, cela permet de révèler l'ampleur du problème. Voila pour ce soir à bientôt.
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18/10/2007 23:13
bonjour, suite et fin du thème sur la colère. Faites porter le fardeau à l'autre personne. Demandez-lui ce qu'elle compte faire pour améliorer la situation. Si établir un échéancier est approprié, élaborez-en un qui soit réaliste. L'autre personne doit être entièrement d'accord avec ce programme, sinon elle ne le suivra pas. Soyez aussi bref que possible si vous persistez après avoir vidé la question, l'autre personne estimera que vous déchargez tout simplement vos propres problèmes sur elle plutôt que d'essayer sincèrement d'accomplir quelque chose de positif. Trouvez un compliment en mettant un terme à l'entretien en complimentant la personne sur une de ses activités, vous lui montrerez que vous n'avez pas de parti pris contre elle. Qu'elle vous quitte convaincue qu'elle peut et doit faire mieux, et non pas que vous serez pour toujours son ennemi.
En vous même, il y a un être beaucoup plus intéressant, énergique et voué à la réussite que vous ne croyez l'être maintenant à bientôt JL
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